Immobilier : 3 bonnes raisons de vendre en 2021 !

S’il est estimé au juste prix, un bien immobilier se vend (très !) rapidement

Une étude SeLoger nous apprend que 35 % des propriétaires renoncent à vendre car ils craignent de ne pas vendre assez vite. Il ressort de la même étude que 26 % des propriétaires, qui ajournent leurs projets de vente, avouent craindre de vendre en dessous du prix du marché et de réaliser ainsi une moins-value… S’il est effectivement compliqué de réaliser soi-même une estimation objective de son logement, un agent immobilier saura déterminer son prix réel.

Le prix immobilier poursuit sa hausse (et ce n’est pas près de changer !)

Bon nombre de propriétaires renoncent à vendre car ils craignent que l’immobilier hexagonal ne s’effondre. Selon l’étude SeLoger, 35 % des propriétaires avouent ainsi s’attendre à une baisse du prix de l’immobilier en France. Pourtant, force est de reconnaître que le marché immobilier hexagonal a plutôt bien résisté à la crise sanitaire et qu’un retournement de ce même marché n’est pas d’actualité. Comme le fait remarquer Michel Mouillart, porte-parole du baromètre LPI-SeLoger, « depuis le début de l’année, le rythme annuel (+ 7 %) de la hausse des prix immobiliers en France ne ralentit pas dans l’ancien (…). Pour l’heure, rien ne vient freiner la hausse des prix constatée depuis le printemps 2019, ni la crise sanitaire, ni deux confinements, ni leurs conséquences économiques, ni le resserrement de l’accès au crédit ».

Frustrés, les acquéreurs dans le neuf pourraient se reporter sur l’ancien

S’il jouit d’une forte attractivité auprès des acheteurs français, le marché de l’immobilier neuf affiche des stocks de biens disponibles en forte baisse. En cause, une offre largement insuffisante et un marché du neuf dont la pénurie qui le caractérise a été aggravée par l’attentisme pré-électoral des dernières municipales. Accordant – à tort ou à raison – du crédit au dicton qui veut qu’« un maire bâtisseur soit un maire battu », une majorité d’édiles locaux a ainsi fermé le robinet des permis de construire avant même que le premier confinement ne soit instauré. Par ricochet, il y a donc fort à parier que les acheteurs dans le neuf, frustrés de ne pouvoir concrétiser leurs projets, faute de biens disponibles, se tournent finalement vers le marché de l’immobilier ancien, contribuant par là-même à faire se tendre encore davantage un marché déjà sous tension…

Wenn der Kaufpreis korrekt eingeschätzt wird, verkauft sich eine Immobilie (sehr!) schnell

Eine SeLoger-Studie zeigt, dass 35% der Eigentümer den Verkauf aufgeben, weil sie befürchten, dass sie nicht schnell genug verkaufen werden. Aus derselben Studie geht hervor, dass 26% der Eigentümer, die ihre Verkaufspläne verschieben, zugeben, Angst zu haben, unter dem Marktpreis zu verkaufen und damit Verluste zu machen … Wenn es tatsächlich kompliziert ist, einen Verkauf selbst durchzuführen, hilft eine objektive Schätzung durch einen Immobilienmakler.

Der Immobilienpreis steigt weiter (und das wird sich nicht ändern!)

Viele Hausbesitzer geben den Verkauf auf, weil sie befürchten, dass die Preise zusammenbrechen werden. Laut der SeLoger-Studie geben 35% der Hausbesitzer zu, einen Rückgang der Immobilienpreise in Frankreich zu erwarten. Wir müssen jedoch zugeben, dass der französische Immobilienmarkt der Gesundheitskrise ziemlich gut standgehalten hat und dass eine Trendwende auf demselben Markt nicht in Sicht ist. Michel Mouillart, Sprecher des LPI-SeLoger-Barometers, betont: „Seit Jahresbeginn hat sich die jährliche Rate (+ 7%) des Anstiegs der Immobilienpreise in Frankreich in ersterem (…) nicht verlangsamt. . Im Moment bremst nichts den seit dem Frühjahr 2019 beobachteten Preisanstieg, weder die Gesundheitskrise noch zwei Lockdowns, noch ihre wirtschaftlichen Folgen oder die Verschärfung des Zugangs zu Krediten. „

Frustriert könnten sich Käufer von Neubauten zu Altbauten hinwenden

Während es für französische Käufer sehr attraktiv ist, weist der neue Immobilienmarkt stark rückläufige Verkaufsbestände an verfügbaren Immobilien auf. Der Grund dafür ist ein weitgehend unzureichendes Angebot, dessen Mangel durch die abwartende Haltung der letzten Kommunalwahlen noch verstärkt wurde. Die Mehrheit der Gemeinderäte hat – zu Recht oder zu Unrecht – dem Sprichwort, dass „ein Baubürgermeister ein besiegter Bürgermeister ist“, bereits vor der Errichtung des ersten Lockdowns den Hahn für Baugenehmigungen abgestellt. Es ist daher sicher, dass Käufer von Neubauten, die frustriert sind, weil sie ihre Projekte aufgrund fehlender verfügbarer Immobilien nicht realisieren können, sich den Altbauten zuwenden und so dazu beitragen noch mehr einen Markt spannen, der bereits unter Spannung steht …